Le Mitsubishi RVR, vu par ses rivaux
On prend souvent le temps de vous présenter un véhicule en le décrivant de la façon dont on le perçoit. Pour se donner une perspective différente, et l’analyser d’un autre angle, prenons le temps...
Action Mitsubishi
On ne vous apprend rien en vous disant que Mitsubishi propose deux versions de son VUS Outlander. Il y a bien entendu la variante à essence, équipée d’un 4-cylindres de 2,5 litres offrant 181 chevaux et 181 livres-pieds de couple.
Puis, il y a la variante hybride rechargeable PHEV, qui propose un 4-cylindres de 2,4 litres qui, avec l’aide de moteurs électriques, propose une puissance combinée de 248 chevaux et 332 livres-pieds de couple. Et, évidemment, une magnifique autonomie électrique de 61 kilomètres.
Ce que les deux modèles proposent aussi, c’est l’une des meilleures tractions intégrales de l’industrie automobile. Les véhicules Mitsubishi ne font pas simplement qu’offrir la motricité aux quatre roues ; ils mettent de l’avant des systèmes intelligents qui n’ont qu’un seul but ; rendre tous vos déplacements plus sécuritaires.
Mais qu’en est-il avec le VUS Outlander, qui est offert avec deux configurations différentes ? Est-ce que toutes les déclinaisons profitent du même système, ou est-ce que des différentes sont notables entre les deux ?
Et bien la réponse est que les systèmes sont différents d’une approche à une autre. Avec le modèle à essence, on retrouve le système traditionnel qui ne cesse de s’améliorer depuis ses débuts il y a plus de 30 ans. Avec la variante hybride, on a droit à une version encore plus efficace, croyez-le ou non.
Voyons ça très simplement.
D’abord, sachez que les deux systèmes portent le même nom, soit S-AWC pour Super-All Wheel Control.
Dans les deux cas, ils reposent sur trois bases simples ; le transfert de puissance longitudinale (avant vers l’arrière), le transfert latéral (de gauche à droite) et le contrôle des quatre roues au freinage.
Dans les cas des deux derniers, le rendement est le même entre les deux systèmes alors que le couple va d’un côté à l’autre selon les besoins, et que le travail des dispositifs au freinage a pour but de vous garder en contrôle en toutes circonstances.
Ce qui est plus efficace avec la version PHEV, c’est le transfert de la puissance vers l’avant et vers l’arrière. Pour résumer ça simplement, avec le modèle à essence, on retrouve surtout plus de contrôle (en pourcentage) à l’avant ou à l’arrière, selon la situation. Avec la version électrique, en raison de la rapidité avec laquelle le transfert se fait, l’équilibre est plus grand entre l’avant et l’arrière.
Au volant, on se sent en contrôle avec toutes les versions. Lorsqu’on effectue des manœuvres d’urgence, on peut percevoir une plus grande efficacité avec le modèle PHEV. Ça demeure minime, on s’entend, mais Mitsubishi a trouvé une façon d’améliorer son système grâce à l’électrification.
Mais rassurez-vous si vous êtes propriétaires d’un modèle régulier ; son système de traction intégrale est meilleur que tout ce qui se fait chez la concurrence.
La mission de Mitsubishi est simple ; vous offrir de la traction et de la stabilité en tout temps, tout en garantissant une tenue de route optimale.
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